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Les approches de ce terme sont divergentes
Le racialisme ?
Le racialisme est un néologisme absent des dictionnaires...
 

Les approches de ce terme sont divergentes.

Certains considèrent le racialisme comme un quasi-synonyme d’un autre mot utilisé au début du XXe siècle : la raciologie, qui désigne la science comparative (anthropologie) consacrée à l’étude des types humains en tant qu’ils présentent des caractères héréditaires différents ;

D’autres estiment qu’il s’agit d’une doctrine scientifique servant à justifier un refus de l’autre, en quelque sorte, un racisme « modéré », dépourvu de toute idée de hiérarchisation des races, ou d’adoption de mesures coercitives à l’égard d’autres races ;

Dans la littérature anglosaxonne, le mot « racialism » peut encore être rencontré dans le sens de racisme, où il est alors employé de façon interchangeable avec le mot « racism ».

QU’EST-CE QUE LE RACIALISME ?

« En dissociant complètement dans nos esprits la réalité du développement et celle du sous-développement, comme si ces deux réalités n’étaient pas le produit l’une de l’autre, nous parvenons à nous faire croire que Nous sommes les seuls auteurs de notre richesse, tout comme les Autres seraient les seuls responsables de leur pauvreté. Nous dissimulons la croyance inexprimée en une infériorité raciale attribuée comme seul dénominateur commun à toutes ces Autres cultures. Il est toujours facile de confondre notre supériorité sociale, c’est-à-dire notre position privilégiée dans la société planétaire, avec une supériorité naturelle qui aurait pu en être la source. » (Blondin, 2003)

Le racialisme, tel que le présente D. Blondin, repose sur le consensus social actuel qui permet « d’utiliser et de transmettre inconsciemment une vision du monde raciste dans une société officiellement antiraciste, en mettant en scène une série de contradictions systématiques qui conduisent à l’unique conclusion possible, soit celle, informulée, d’une différence de nature entre ces deux humanités et une supériorité naturelle de l’une sur l’autre » (Blondin, 1995). Selon Blondin, le racialisme est la composante théorique, à vocation explicative, de l’idéologie raciste.

Le racisme, en tant qu’idéologie, ne se réduit pas selon lui à l’énoncé explicité d’une doctrine : « Il est constitué de deux trames imbriquées, l’une à partir d’une série d’axiomes qui servent à structurer et à expliquer le domaine considéré, l’autre développant des axiomes qui servent à assigner des valeurs aux catégories ainsi produites. »

« Toute idéologie serait donc une sorte de mariage entre une théorie et une doctrine : si la doctrine se contente en principe de prescrire ce qu’on doit faire sans fournir beaucoup d’explications, et si la théorie prétend plutôt expliquer sans décréter de règles morales, l’idéologie fonctionne justement en fusionnant ces deux dimensions et en maintenant un maximum d’ambiguïté entre ces deux statuts (...) l’idéologie pourrait séparer l’élément doctrinal, sujet à censure, et laisser la composante théorique jouer son rôle explicatif en toute impunité. » (Blondin, 1990, pp 15)

Depuis la seconde moitié du siècle dernier la réalité scientifique de la race et les catégories raciales qui en découlent sont régulièrement dénoncées, notamment par Jacques Ruffié, André Langaney, Albert Jacquard ou Marcel Blanc, pour ne citer que les plus connus des biologistes et généticiens français. Les textes diffusés par l’UNESCO affirment également depuis 1950 l’unité du genre humain (UNESCO, 1998). Néanmoins les caractéristiques anthropologiques s’érigent aujourd’hui encore en construction socioculturelle et fondent la perception des différences. « (...) la racialisation de certains traits s’opère sélectivement. Des attributs spécifiques deviennent des indices ’’raciaux’’ et servent la catégorisation sociale (couleur de la peau, texture et couleur des cheveux, ossature...) jusqu’à fonder des ’’théories raciales’’ » (Vinsonneau, 2002, pp. 213).

Le nouveau « paradigme raciologique » tel que le définit Anselme « reprend des concepts apparentés comme ceux de la race, de la nation, de l’ethnie et, en les dotant d’une fermeture, leur donne une vigueur accrue qui leur confère la qualité de substance. Dès lors que ces substances ont été constituées, il est nécessaire de les relier entre elles, ce qui pose d’emblée deux types de problèmes, celui du comparatisme d’une part et celui des systèmes d’opposition, d’autre part » (Anselme, 2002, pp 91). Ainsi, le « néo-racisme » ou « racialisme » , en mettant en avant le « culturalisme » essentialise, « absolutise », clôture les différences entre groupes humains (Taguieff, 1988) et permet de maintenir une hiérarchisation entre ces derniers : « La culture a purement et simplement remplacé la race » (Sanchez-Mazas, 2005, pp 138) :

« (...) les travaux de science politique et de psychologie sociale (...) viennent-ils souligner de façon tranchée le passage du racisme classique, scientifique, à un racisme ’nouveau’’, ’’culturel’’, ’’différentialiste’’, ’’symbolique’’. Un ’’néo-racisme’’ dit-on aussi parfois, qui semble écarter le principe de hiérarchie biologique au profit de celui de diversité culturelle. » (Wierviorka, 1998, pp 33)

L’Autre est alors « surinvesti par une représentation de sa culture », présentée comme avant tout « différente » :

« La différence culturelle est évoquée dans ce concept nouveau de ’’racisme différentialiste’’ (...), nouvelle forme de racisme rompant avec la biologie et l’idée de ’’race’’. » (Sanchez-Mazas, 2005, pp 138)

Si, nous l’avons vu, le racisme scientifique est consubstantiel à toute entreprise coloniale, le racialisme, en tant que pôle explicatif d’un racisme « débiologisé » est inhérent à l’idéologie développementaliste. On assiste avec le racialisme à la naissance d’un « diffe_rentialisme qui a récupéré certains thèmes du relativisme culturel, et une vision évolutionniste de l’ine_galite_ et du progrès des « races » et des « civilisations » (expressions mutuellement substitutives). » (Taguieff, 1997, pp. 95).

Le racialisme repose en effet sur deux axiomes ou doxèmes majeurs :


- Le « différentialisme » : Ce nouveau discours raciste qu’est le racialisme se légitime moins par l’invocation de l’inégalité des races que par l’idée de « l’irréductibilité et de l’incompatibilité de certaines spécificités culturelles, nationales, religieuses, ethniques ou autres » (Wierviorka, 1998, pp 33). La culture de l’Autre est essentialisée, naturalisée, tout comme le sont les différences culturelles.

- L’« évolutionnisme civilisationnel ou culturel » : S’il n’y a pas de races ni donc de hiérarchie raciale comme l’affirme l’idéologie raciste, certains groupes humains sont néanmoins supérieurs à d’autres. La comparaison entre ces différents groupes s’établit en fonction de leur niveau de développement (industriel, culturel, civilisationnel, ...) et principalement, dans la logique développementaliste, de leur niveau de production.

Ainsi, on distingue aujourd’hui les différents groupes humains en fonction d’un axe Nord/Sud regroupant différentes nations, les « pays du Sud » (inférieurs sur l’échelle du développement) étant, pour la quasi totalité d’entre eux, des pays anciennement colonisés. Ces deniers sont regroupés sous diverses appellations : « pays du sud », « P.V.D, pays en voix de développement », « P.M.A, pays les moins avancés », « pays pauvres », etc... On retrouve dans le développementaliste et le racialisme qui le sous-tend les fondements de l’idéologie coloniale, à savoir « la légitimation du système par référence aux niveau différentiels de développement et par une attribution d’un stéréotype d’incompétence au colonisé » (Licata, Klein, 2005, pp 274) ou, dans le cas présent, aux populations des pays en « voix de développement ».

Malgré la mise en péril du modèle développementaliste, notamment par ses désastreux échecs au cours du siècle dernier, ce que certains qualifient de « mythe du développement » (Rist, 1996) continue aujourd’hui d’être « l’orthodoxie majoritaire » (Deconchy, 1984), diverses stratégies de « sauvegarde idéologique » ayant été mises en place :

« Pour tenter de conjurer les effets négatifs de l’entreprise développementaliste, on est entré dans l’ère des développements à particule. On a vu surgir des développements autocentrés, endogènes, participatifs, communautaires, intégrés, authentiques, autonomes et populaires, équitables, durables... sans parler du développement local, du microdéveloppement, de l’endodéveloppement et même de l’ethno-développement ! » (Latouche, 2003, pp 13-14)

Notons qu’on peut percevoir là une « contestation interne » de l’orthodoxie idéologique bâtie autour du développement, contestation interne qui comme le rappelle Deconchy joue un rôle essentiel dans la perpétuation du système dans la mesure où « elle joue dans l’ordre même du champ socio-cognitif que ce système a mis en place » (Deconchy, 1989, pp 36).

De nombreux stéréotypes et préjugés actuels concernant l’Afrique et ses habitants vont donc se construire au cours du siècle dernier et avoir pour justification l’idéologie et la propagande coloniale ainsi que l’idéologie développementaliste qui leur a succédé. Nous verrons que les stéréotypes et les préjugés véhiculés sur l’Afrique sont entretenus par certaines carences de l’enseignement scolaire concernant l’histoire de ce continent et de la colonisation.

La diffusion d’une image négative et réductrice de l’Afrique et des Africains est cependant également produite par le fonctionnement même de l’appareil médiatique (Mezzana, 2003) et par le poids des médias dans la construction sociale des représentations véhiculées en Occidents sur l’Afrique.

B. Gouteux

WWW.BRUNO-WEB.NET

| Afrique | idéologie | Racialisme

Forum de l'article :

Racialisme

une approche concréte de la problématique africaine sur :

http://perso.orange.fr/mez-images/projet.htm

-
2006-11-24 00:03:16

Itinéraire...
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Le racialisme ?

J’ai une question pour vous. Je me demandais le nom que l’on donne à un métissage entre blanc et asiatique. Entre un noir et blanc, c’est mulâtre. Entre un blanc et indien on dit métis. Mais je n’ai pas trouvé de mot pour définir entre blanc et asiatique.

Merci d’avance pour votre réponse.

- ttai@w-cote.com
2007-08-24 18:47:05


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Le racialisme ?

Le racialisme Réponse à un article de Inter-culturel.net (2007-12-08)

Je voudrais d’abord résumer cet article, en employant seulement les mots du dictionnaire, et en évitant les mots en « isme », au risque de me priver des artifices qui font apparaître la pensée plus profonde et novatrice :

« Le racisme s’était nourri, jusqu’à récemment de thèses scientifiques. De grands savants français ayant démontré qu’elles ne l’étaient pas, une nouvelle forme de racisme est apparue, qui se sert de données économiques pour hiérarchiser les peuples entre eux, l’Afrique se trouvant au bas de l’échelle. Ce racisme est aussi détestable que l’ancien. »

Je ne suis d’accord qu’avec la conclusion. Les races, autrement dit les sous-espèces humaines existent, autrement nous serions la seule espèce animale à nous être affranchis des lois de l’évolution. Celles-ci veulent que la meilleure adaptation à une niche écologique donnée se traduise avec le temps, pour une population isolée, par la formation d’un groupe dont les membres sont dotés des mêmes gènes bénéfiques spécifiques. Bien évidemment le métissage a rendu et rendra de plus en plus floues les différences entre les patrimoines génétiques et c’est tant mieux. De plus, chez l’homme, l’héritabilité culturelle est grande et donne aux caractères innés une moins grande importance que chez les autres animaux. Cette importance n’est néanmoins pas négligeables, et les récents progrès de la sociobiologie le démontrent, au plan mondial, même si quelques savants français peinent à le reconnaitre.

Mais en aucun cas la science ne dit le bien ou le mal. Dire qu’elle est responsable d’une sorte de racisme, c’est comme dire que nos connaissances sur la structure de l’atome sont responsables du danger que représentent des extrémistes possesseurs de la bombe ! De même la science explore les différences entre l’homme et la femme, elle ne cherche pas à établir qui est le plus humains des deux !

Je ne comprends pas non plus comment le racisme pourrait justifier une hiérarchie entre les peuples, autre qu’économique et temporelle, sur la base du PIB !. La Chine et l’Inde, hier pays pauvres seront demain pays riches. Seront-ils meilleurs sur l’échelle des valeurs humaines ? A l’évidence l’Afrique a du mal à suivre. Faute à la colonisation ? Pas évident. Au moment ou a débuté la colonisation, elle n’avait pas atteint la richesse des pays colonisateurs. Je préfère penser qu’elle avait choisie d’autres valeurs que celles des nations industrielles. Il faisait, et il fait encore mieux être vieux dans une famille Africaine que dans un pays du nord.

En résumé, je voudrais que ceux qui combattent, à raison, le racisme sous toutes ses formes, le fassent de façon intelligente, en s’attaquant à ses vraies causes, la bêtise et l’esprit de meute qui nous anime encore, à une époque où la méfiance de l’autre n’augmente plus nos chances de survie, comme tel était peut-être le cas dans les temps anciens.

PPLB -
2007-12-08 17:06:22


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Le racialisme ?

Bonjour,

juste deux mots pour répondre au message ci-dessus.

1. Non, les races humaines n’existent pas, et non, l’existence de races/sous-espèces n’est pas une obligation des "lois de l’évolution" (sauf à considérer le long-terme). Ou plus exactement, cela dépend (une réponse de Normand, je l’admets, mais je m’explique) Le problème ici est assez complexe et je souhaite rester bref. Oui, vous avez raison, si des populations d’une même espèce restent isolées pendant de très nombreuses générations (et il est difficile d’être plus précis sur le temps nécessaire car cela varie d’une espèce à l’autre) des différences génétiques aléatoires (dues à ce qu’on appelle la dérive génétique) et sélectives (qui peuvent être minimes si les populations restent de taille limitée) vont s’accumuler.

Oui, on pense que cela peut aboutir à créer de nouvelles espèces, mais l’isolement de ces populations est rarement absolu et les populations sont souvent isolées et remises en contact de façon répétées (changements climatiques, abaissement du niveau des mers qui remet en contact des terres mais isole aussi des populations d’espèces marines, etc.). Chez certaines espèces cela peut aboutir à créer de nouvelles espèces et chez d’autres, cela n’a pas lieu fréquemment. Il se trouve, et cela n’était pas obligatoire a priori, que pour l’espèce humaine, cet isolement est très récent et qu’il a été extrêmement limité (je ne souhaite pas discuter ici des différentes théories d’origine de l’espèce humaine).

Par ailleurs, depuis plus de 30 ans (avec l’article important de Richard Lewontin en 1972), les données génétiques racontent toujours la même histoire, quels que soient les marqueurs génétiques utilisés (ou plutôt : les seules « exceptions » concernent les marqueurs haploïdes et transmis de manière uni-parentale, ADN mitochondrial et chromosome Y, qui présentent une diversité accrue entre régions éloignées mais toujours inférieures à la diversité intra-régionale. Cela est normal car la taille efficace de ces marqueurs est en espérance 4 fois plus basse que pour les marqueurs nucléaires, désolé d’être un peu technique ici). Donc, pour reprendre ma phrase, les données génétiques ont de manière répétée confirmé que :

a) la diversité génétique à l’intérieur des populations humaines est très supérieure à la diversité entre populations

b) cette diversité est distribuée —et c’est cela le point important— de façon *continue*.

Je simplifie nécessairement, mais globalement c’est le message.

2. Il est important de rappeler que nous vivons fondamentalement dans un monde définit par des "blancs" qui sont souvent par ailleurs, des hommes, des "chrétiens", des hétérosexuels, etc. Cela veut dire qu’il est extrêmement d’aborder tous les problèmes liés à ces biais (racisme, sexisme, islamophobie, homophobie) dans une vision prétendument universelle (doit-on rappeler que le suffrage *universel* était fermé aux femmes ?). En effet, même lorsqu’on souhaite les remettre en cause on est obligé d’en utiliser le vocabulaire, la rhétorique, et surtout le cadre de pensée. Le cas classique consiste à rappeler que définir un « Noir » comme une personne ayant du sang noir (visible par exemple par le type de cheveux qu’il a) est une vision complètement raciste qui sous-entend une pureté blanche souillée ainsi qu’un essentialisme négatif du « Noir » qui transmet une tache indélébile.

Et nous acceptons tous cela sans jamais le remettre en cause si ce n’est par instant et de façon limitée. Et cette vision qui trouve une racine dans la « one-drop rule » du sud des Etats-Unis (mais a des origines plus profondes) est complètement intégrée et acceptée, y compris par les « Noirs ». Ainsi ceux qui cherchent à sortir de ce racisme latent qui imprègne le monde qui nous entoure, sont régulièrement accusés de ce qu’ils remettent en cause (ils sont alors présentés comme racistes, sexistes, anti-hétéros, etc., dans un renversement de la réalité choquant mais général et généralisé) par ceux-là même qui bénéficient de ou simplement acceptent l’imposition de ce cadre d’analyse. A nouveau c’est un peu court, mais ce n’est pas mon domaine et je ne veux pas m’étendre trop ici.

Pour conclure, je suis d’accord avec vous : la lutte contre le racisme ne doit pas se faire par l’imposition de visions simplistes et niant la réalité, mais je crois que justement (et je ne souhaite pas du tout être agressif) vous faisiez preuve de ce que vous critiquiez : manque de connaissance d’un sujet complexe (la diversité humaine), et vision dominante et biaisée de la réalité du racisme du monde dans lequel nous baignons.

Je suis bien entendu ouvert à la discussion,

Amicalement,

Lounès Chikhi

LC -
2008-01-11 13:26:23


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Le racialisme ?

Réponse au message de LC du 11/01/2008 Il me semble que vous confondez "espèce" et "sous espèce" L’isolement dans des niches écologiques différentes, peut en effet, à long terme,conduire à la création de nouvelles espèces, c’est à dire des populations qui ne peuvent plus se reproduire avec l’espèce souche.Mais le plus souvent cet isolement aboutira à des sous-espèces,ou races, ayant des caractères physiques, physiologiques,cérébraux différents suite à des sélections génétiques différentes, mais capables de procréer entre elles, comme c’est le cas pour les races humaines. La pression génétique forcée que constitue l’élevage n’a pas crée une nouvelle espèce bovine, mais a crée des races limousines, normandes, salers etc. Je suis également désolé de ne pas partager vos vues sur la diversité génétique interpopulation et entre les populations( au fait comment définissez vous ces populations ?). Avant que ces sujets ne deviennent tabous, il existait des cartes de la répartition mondiale de nombreux marqueurs, publiées dans des encyclopédies sérieuses comme celle de Larousse.Mais le monde est tel, comme vous le dites dans la seconde partie de votre message que ce genre d’études est aujourd’hui dangereux et les savants responsables préfèrent s’abstenir sur ces sujets. PPLB

-
2008-01-29 17:02:30


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